Le premier « Tourbillon à Paris » a été construit suivant des plans manuscrits et usiné entièrement de façon manuelle et traditionnelle. La platine, qui soutient tout le mécanisme, se trouve au centre du mouvement et des ponts viennent soutenir le rouage depuis l’avant et l’arrière de la montre. Cette construction permet de simplifier certains composants et d’alléger l’esthétique du chronomètre tout en laissant le mouvement visible de part et d’autre du garde-temps.